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31 mars 2013 7 31 /03 /mars /2013 18:00

  Nos relations changent. Plus qu’autrefois, prêtres et laïcs se rencontrent, travaillent ensemble et partagent. Ils se connaissent donc plus profondément. Par ailleurs, on le sait le nombre de prêtres diminue tout comme, par exemple, l’assistance aux messes du dimanche. Voici 20 ans (1992) il y avait dans le Tarn 216 prêtres. Aujourd’hui ils sont 122. De plus 33 d’entre eux sont « retirés », à cause d’ordinaire de leur grand âge. Heureusement 13 prêtres d’Afrique et d’Asie sont venus « servir » dans le Tarn. Il s’agit de prêtres jeunes. Certains poursuivent des études à Toulouse. Au terme de leur formation ils rentreront dans leur pays d’origine. Certains de nos prêtres sont venus de la Communauté des Béatitudes ou bien du Néo-catéchuménat. Nous avons au total un corps sacerdotal « métissé ». On n’est plus au temps où souvent on connaissait la famille de son curé et celui-ci pouvait, à l’occasion, converser en occitan avec les anciens. Ces évolutions élargissent notre terroir, tout comme les études, le travail, les voyages brassent aujourd’hui les populations. Un clergé « métissé » correspond à cette transformation de nos sociétés ; ne serait-ce pas un atout pour une nouvelle Evangélisation ?

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   Et demain ? Ne jouons pas au prophète, même si des ordinations se préparent. Actuellement 5 séminaristes sont en formation à Toulouse pour devenir prêtres dans notre diocèse. Ils sont au séminaire régional de la rue des Teinturiers qui aura, à partir de septembre, un nouveau supérieur, le Père Vincent Siret qui nous arrive d’Ars. Puisse Saint Jean Marie Vianney le guider et le soutenir dans sa responsabilité. Mais l’avenir se construit pas à pas avec les prêtres actuels. Le mardi saint, avant la messe chrismale, notre archevêque nous a réunis pour rappeler les grandes insistances du concile sur la vie et le ministère des prêtres. Cela suppose une attention à tout ce qui fait leur quotidien. D’où une proposition faite à chaque prêtre : évaluer aussi bien sa vie matérielle (logement, nourriture, détente, etc…) que sa culture religieuse et les relais possibles dans sa vie spirituelle. Il s’agit d’aider les prêtres d’aujourd’hui et de demain à être de vrais disciples, des pasteurs et des missionnaires. Ce sont les insistances du concile. Elles vont de pair avec appel à la sainteté. Un évêque disait à la fin du synode sur la nouvelles évangélisation : « J’ai compris au moins une chose, je dois être un saint ». Ce n’est jamais facile, et c’est encore plus difficile si la communauté chrétienne locale n’y aide pas. Au moment, ce 21 avril, où l’Eglise prie pour les vocations, je me permets trois suggestions à ceux de nos lecteurs qu’intéresse l’avenir de notre Eglise et donc de nos prêtres.


* - Pouvez-vous au fil des conversations en famille ou dans tel ou tel groupe, dire quelle est, à votre avis, la plus grande qualité de votre curé ? (Tout le monde connaît déjà ses limites et ses défauts…)


* - Pour le fête ou l’anniversaire de votre curé, avec quelques ami(e)s, demandez à votre curé de célébrer une messe pour lui-même et allez y participer.


* - Ne dénoncez pas à l’archevêché telle ou telle de ses initiatives que vous contestez. Mais allez le rencontrer à plusieurs. Parlez clairement, fortement, respectueusement.


   Grâce à vous, peut-être votre curé grandira-t-il en sainteté et vous-même vous prendrez la même route.

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20 mars 2013 3 20 /03 /mars /2013 16:34

Voici une vidéo en anglais concernant la vocation sacerdotale. Méditation et interpellation !

 

 

 

 

une vidéo proposée par les légionnaires du Christ

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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 22:55

Muccignat-J.JPG

 

Je suis originaire d’une toute petite paroisse du diocèse d’ Albi : Peyregoux. ( Que peut-il en sortir de bon !!!) Une paroisse qui, dans mon enfance et ma jeunesse était dynamique, vivante, avec un jeune curé à sa tête : l’abbé Maurice Chansou à qui, après Dieu, je dois ma vocation car celle-ci passe toujours par des intermédiaires. Il a décelé en moi la possibilité d’un vocation sacerdotale. Il m’envoya au petit séminaire Pie XII à Saint Sulpice où j’ai suivi le cursus normal d’un petit séminariste en ce temps-là : petit séminaire, grand séminaire à Albi puis à Toulouse, interrompu par le service militaire. J’ai été ordonné prêtre à Puylaurens le 31 décembre 1967 ( le plus beau jour de ma vie !!!) C’est à Puylaurens que j’ ai commencé à exercer mon sacerdoce comme vicaire de l’ abbé Chansou, ensuite j’ ai été nommé vicaire à Lacaune où je suis resté treize ans, après quoi j’ ai été nommé curé du secteur pastoral de Vielmur où je suis resté douze ans, et enfin je suis à Brassac depuis une dizaine d’ années, succédant à Mr l’ Abbé René Béziat.

 

J’ai connu et je connais beaucoup de joies à travers mon ministère sacerdotal tout simplement en accomplissant ce pourquoi j’ai été envoyé dans les différents secteurs : l’ annonce de Jésus-Christ. «  Malheur à moi si je n’annonce pas l’Evangile » a écrit Saint Paul, et ce , « à travers  tous les âges de la vie ». Mon ministère en paroisse, la fontaine du village où chacun peut venir s’abreuver à la source pour puiser l’eau vive, m’a permis de faire miennes « les joies et les espoirs, les tristesses et les angoisses » de tous ceux et de toutes celles que j’ai été appelé et que je suis appelé à servir. Précisément, je rends grâce à Dieu pour tout ce qui m’a été permis de vivre avec elles.

 

Bien sûr, j’ ai rencontré des difficultés que je résumerai par ces mots d’un livre écrit par Le Cardinal Maradiaga : «  De la difficulté d’évoquer Dieu dans un monde qui pense ne pas en avoir besoin. » C’est le phénomène de la sécularisation à laquelle nous sommes tous affrontés. Mais cela ne fait que me conforter dans l’urgence d’une nouvelle évangélisation.

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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 22:51

 

Je suis d’une famille de croyants, maman a eu deux frères prêtres et une sœur religieuse au diocèse de Saint-Flour.

 

Au lendemain de leur mariage en 1938, mes parents quittent l’Auvergne, ils déménagent en Tarn-et-Garonne, puis dans le Tarn. J’ai grandi à Saint-Amans Val Thoré, d’abord à l’école publique à un kilomètre, puis en septième à l’école privée de Saint-Amans Soult à 5 km tout l’hiver 1956. Je rentre à Saint-Sulpice à l’automne 1956, la profession de Foi se passe, un premier appel du Seigneur.


En 1958, c’est le déménagement du petit séminaire de Saint Sulpice à Valence d’Albi. En classe de seconde, un deuxième appel. En 1964 je rentre à Albi au premier cycle  régional de grand séminaire que nous inaugurons.En 1966 papa achète une ferme pour la quatrième fois, c’est à Guitalens. Le climat est plus doux pour maman. Il nous laisse encore le sens du travail, de l’entreprise et du courage. Nous avons grandi 4 enfants, je suis le troisième.

 

A Saint Amans (de 1951 à 1966), j’ai vécu avec des protestants, nous avons lié une réelle amitié. Je termine le service militaire de 16 mois au printemps 1968. Je fais alors une retraite à En Calcat : un moine me dit « c’est le moment, tu peux y aller ». J’étais prêt pour l’engagement définitif.

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En terminant le second cycle à Toulouse j’ai eu envie de creuser la Bible. Cela me favoriserait les relations œcuméniques d’où une année à l’Institut Catholique de Paris dès ma première année d’ordination. Devant la fragilité, l’ensablement, le clinquant de nos églises, il m’a semblé que seule la Parole de Dieu survivrait et nous donnerai l’espérance.


Cinq années à Brassac, 10 à Mirandol Bourgnounac m’ont donné l’occasion de m’occuper des jeunes à travers les camps, l’ACE , le sport. A 42 ans, je reçois comme une circulaire de l’Aumônerie militaire, du genre « on embauche ». C’est alors 18 années, toujours au service des hommes même quand ils sont en arme et en uniforme. Je suis affecté successivement à 5 garnisons :

-TREVES et STETTEN en Allemagne

-GAP, CASTELNAUDARY et BESANÇON


J’ai accompagné aussi les soldats français dans 5 missions : deux fois au Liban, une fois à Sarajevo, deux fois au Kosovo. La présence d’un prêtre auprès des militaires prend une tournure particulière. Je pouvais approcher tout le monde quel que soit son grade. Au cours des camps, des manœuvres et des missions, ils se confient davantage.


A 60 ans j’éprouvais le besoin de retrouver le diocèse. 4 ans à Graulhet, j’ai demandé une année de recyclage à Toulouse pour comprendre notre monde d’aujourd’hui. J’y ai découvert aussi des perspectives pour l’Eglise (en d’autres visages). A Montredon-Labessonnié depuis 4 ans, j’ai la mission d’unifier le secteur où 3 prêtres ont exercé longtemps sur leurs paroisses jusqu’à leur décès.

 

La Parole de Dieu me nourrit tous les jours et m’entretient dans l’Espérance. J’aime notre Eglise .

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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 23:00

 

Une campagne pour les vocations sacerdotales aux Etats-Unis ! ça décoiffe !

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2 février 2013 6 02 /02 /février /2013 18:57

Dans quelques jours, Matthieu Salmon sera ordonné diacre permanent à Castres pour le diocèse d’Albi. Marié et père de famille, M. Salmon après plusieurs années de discernement et de formation recevra l’ordination diaconale.

Les diacres sont des miniDiacres-du-dioc-se-d-Albi.jpgstres de l’Eglise. Ils assurent une mission spécifique dans la communauté chrétienne. Malheureusement, on les assimile souvent à des « prêtres remplaçants » quand ils célèbrent des mariages ou des baptêmes, ou quand ils assurent la prédication le dimanche lors de la messe dominicale.

 

Or, la mission du diacre n’est pas de remplacer les prêtres qui manquent dans notre diocèse, de se substituer à eux pour les tâches de la vie paroissiale, même s’ils peuvent évidemment prendre une part active. Les diacres ont une autre tâche bien plus grande, bien plus importante : rendre le Christ serviteur présent au cœur du monde !

Servir, servir à la manière du Christ… Manifester l’option préférentielle pour les petiots et les pauvres :les diacres le rappellent d’abord aux chrétiens qui ont souvent tendance à l’oublier ! Les diacres nous rappellent qu’il est urgent de servir la fraternité universelle. C’est d’ailleurs aussi l’objectif de la démarche diaconia qui va se concrétiser dans quelques semaines par un grand rassemblement à Lourdes au mois de mai 2013 !

 

Mais bien plus encore, le diacre, par son ordination, par sa vocation spécifique rappelle à tous les baptisés qu’ils sont les serviteurs de la Parole, et que servir le Christ sans servir les pauvres, les mal aimés, les blessés de la vie, c’est une impasse ! La foi chrétienne, si elle n’est pas service du Christ et donc service des pauvres a perdu sa raison d’être !

 

Merci aux diacres d’être, dans l’Eglise, des éclaireurs de la fraternité et des entraîneurs de la charité du Christ !

 

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2 février 2013 6 02 /02 /février /2013 11:33

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Autrefois dans notre diocèse, les consacrés étaient très visibles : les religieuses dans les écoles et les paroisses, les communautés identifiées au service des malades dans les hôpitaux Les frères enseignants, ceux et celles qui partaient de chez nous en mission et revenaient de temps en temps témoigner de la vie des chrétiens en Afrique ou dans un autre continent…  Des moines et moniales exercent encore dans notre pays tarnais un rayonnement spirituel.

 

La vie consacrée est aussi plus large que la vie religieuse. Il y a des laïcs consacrés qui ont fait une consécration publique ou privée, des instituts qui regroupent des personnes dans une spiritualité… La vie consacrée dans sa diversité n’est peut être pas aussi visible qu’autrefois, mais elle demeure essentielle à la vie de l’Eglise.

 

Consacrer sa vie au Christ, c’est d’abord, rappelons-le, prendre au sérieux son baptême. Tout chrétien a reçu de Dieu, au jour de son baptême cet appel du Seigneur qui l’a « consacré par l’onction ». Tout baptisé est donc appelé à faire de sa vie, quel que soit le chemin sur lequel il s’engage, une consécration au Seigneur. Certains choisissent de vivre une consécration plus radicale : par un engagement dans la pauvreté, la chasteté et l’obéissance, ils manifestent leur désir d’aller plus loin que la mission baptismale de « prêtre, prophète et roi »

 

Le prêtre a reçu la mission d’offrir à Dieu un sacrifice. La baptisé dans son rôle sacerdotal doit tenir son rôle d’intercession au cœur du monde. La personne consacrée, en choisissant la pauvreté exerce cette fonction en manifestant qu’il est d’abord un suppliant, un mendiant d’amour devant Dieu. La pauvreté du sacerdoce baptismal, c’est la fragilité et l’humanité de sa foi..

 

Le prophète est celui qui annonce et témoigne d’un amour plus grand que tout ! Le baptisé est appelé dans le monde à s’engager pour que Dieu soit connu et reconnu, en paroles, et en actes ! La personne consacrée, en choisissant la chasteté, exprime dans sa vie de tout les jours que Dieu seul suffit que son amour est TOUT. La chasteté du prophétisme baptismal donne la première place à Dieu, sans exclure quiconque.

 

Le roi, le vrai roi est celui qui sert son peuple, qui engage sa vie pour les autres. Le baptisé est appelé dans le monde à servir à la manière du Christ Roi et serviteur. La personne consacrée, en choisissant l’obéissance accepte de renoncer à une volonté de dominer, de choisir sa vie, mais de la remettre au Christ. L’obéissance de la royauté baptismale, c’est imiter Jésus lavant les pieds de ses disciples.

 

Celui qui choisit la vocation consacrée dans l’Eglise, accepte de devenir un baptisé, prêtre prophète et roi, en vivant la pauvreté, la chasteté et l’obéissance comme chemin de sainteté !

Vous comprenez que la vie consacrée dans l’Eglise et dans le monde, même si elle va à contre-courant de l’esprit du monde est essentielle pour annoncer le Christ aux hommes d’aujourd’hui !

 

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28 novembre 2012 3 28 /11 /novembre /2012 12:06

 

COOLUS, alias Jean-Baptiste FADY, est l’heureux papa du Lapin Bleu ! Né à Strasbourg en 1973, prêtre depuis 2002, Coolus est membre de la communauté de la Croix Glorieuse. Il est curé in solidum à la paroisse de l’Immaculée Conception à Toulouse. Ce dessinateur à l’humour évangélique nous fait voyager dans les rives de la Garenne du lapin bleu.


Retrouvez toutes les aventures du LAPIN BLEU sur son blog : http://lapin.bleu.bleu.over-blog.com/ ou ses aventures publiées en albums BD aux Editions Béatitudes «Le lapin bleu mène l’enquête ».

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28 novembre 2012 3 28 /11 /novembre /2012 11:56

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 Pour aller plus loin 

  

Détails 

  

-Le lapin de gauche, c’est le Christ (rappel : on le reconnaît grâce à la croix dans son auréole). Il souffle sur ses disciples : il leur donne son Esprit. Seul Jésus peut donner un esprit qui sanctifie, et c’est le sien. 

-Tout est orienté vers l’avant (mains, corps, oreilles…). Le christianisme, est orienté vers l’avant. 

-Les trois lapins pris dans le souffle représentent le cheminement de celui qui vit sous l’action de l’Esprit Saint. Du gris, le lapin passe au bleu, ce qui veut dire qu’il devient de plus en plus à l’image de Dieu, donc de plus en plus lui-même (ce qui paraît contradictoire mais ne l’est pas du tout).

-Au début, le lapin entraîné par le souffle du Christ est surpris. Il semble même craintif parce qu’une force l’entraîne là où il n’a pas prévu d’aller.

-Ensuite il se met dans le sens du souffle, couché sur un coussin d’air. Il atteint la vitesse de croisière, tendu vers l’avant, il fixe la Bible comme étant sa référence, souriant et apaisé.

-A la fin, il est comme sur un toboggan, dans la joie.

 

Questions

 

-Si on regarde bien le mouvement des trois lapins, on constate que l’Esprit-Saint attire d’abord au Christ, et qu’ensuite il envoie en mission.

-Vivre de l’Esprit, c’est avoir ce mouvement continuel ; revenir à la source pour pouvoir propager la Bonne Nouvelle en connaissance de cause. Comment est-ce que je le vis ?

 

 

Merci à Coolus pour les droits d'utiliser

Retrouvez les aventures du lapin bleu sur  lapinbleu.over-blog.net

 

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28 novembre 2012 3 28 /11 /novembre /2012 11:50

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Pour aller plus loin 

Détails : 

  

-Un lapin obéissant… mais il n’est pas dupe. 

-Il regarde en arrière, et n’est pas digne du Royaume des cieux.

-Dans son fatras, il y a beaucoup de choses inutiles s’il n’y a pas d’électricité là où il va.

-Il pense plutôt à son bien être (coussin, nounours, casseroles, frigo, lampe de chevet et livres, raquette) et aussi au paraître (costume impeccable, bien repassé)

 -Au milieu, un poisson rouge, seule vie au milieu de tout ça. C’est l’image du chrétien. Pour le coup, ce poisson rouge ne se contente que d’eau et de rien d’autre.

-Maintenant, imagine la case suivante ! Si tu tires une lourde charrette et que tu descends une pente ? C’est la charrette qui va te pousser

-Et la case suivante ? tu vas aller tout droit et rater le virage qui mène au village. Dommage, tu vas manquer ta mission.

 

-Questions

 

-A toi de tirer la conclusion de cette histoire dans ta vie de tous les jours…

 

 

Merci à Coolus pour les droits d'utiliser

Retrouvez les aventures du lapin bleu sur  lapinbleu.over-blog.net

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  • : Le blog de Service des Vocations du diocèse d'Albi
  • : Dans le supermarché des offres religieuses, l'Evangile est toujours un message qui appelle une réponse d'amour personnelle. Ce Blog vous présentera des réflexions et des témoignages de chrétiens qui ont choisi le Christ, simplement, radicalement et qui ont un jour décidé de diverses manières, de lui donner leur vie.
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